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Cote de Crédit
Mayfair Insurance s'est vu attribuer une note de crédit A- lors d'une évaluation indépendante de la capacité de l'entreprise à régler les sinistres par Global Credit Ratings.
Les notations de crédit sont des évaluations indépendantes de la capacité d'une entreprise à honorer ses obligations, telles que le règlement des sinistres pour un assureur. Cette évaluation est basée sur les risques et les mérites de l'entreprise.
Dans le cadre des nouvelles notations de crédit, les perspectives de Mayfair sont également classées comme "stables", ce qui indique la solidité des fondamentaux de son activité. Il s'agit d'une amélioration par rapport à la précédente notation de crédit BBB+, et elle est basée sur la forte rentabilité, la capitalisation et la liquidité de l'entreprise.
"C'est une excellente nouvelle pour nous. Elle témoigne de la solidité de notre activité et de ses perspectives d'avenir. La note de crédit A- nous donne l'élan nécessaire pour travailler à la réalisation de notre vision, tout en consolidant notre position de leader panafricain fiable et innovant dans le domaine des services financiers", déclare Shehnaz Sumar, directeur exécutif de Mayfair Insurance, qui opère actuellement dans la région de l'Afrique de l'Est, notamment au Kenya, en Zambie et en Tanzanie, et prévoit de s'implanter au Rwanda cette année.
Ce nouveau développement intervient alors que Mayfair marque le dixième anniversaire de ses opérations. Au fil des ans, l'entreprise a connu une trajectoire de croissance.
Dans ses résultats financiers de 2015, les primes brutes souscrites de Mayfair ont franchi la barre des 2 milliards de shillings kényans, doublant ainsi en seulement cinq ans. Les bénéfices du cabinet ont également augmenté de manière constante au cours de cette période, avec un taux de croissance annuel composé de 64.3 %.
L'année dernière, Mayfair a affiché un bénéfice avant impôt de 402.65 millions KSh, contre 360.1 millions KSh l'année précédente.
Global Credit Ratings fait allusion à la rentabilité de l'assureur, notant dans le résumé de son rationnel de notation qu'il est soutenu par des directives prudentes de sélection des risques et une maîtrise générale des coûts, avec un ratio combiné de 84 % en moyenne sur les trois dernières années.
Elle indique que la capitalisation de Mayfair, qu'elle considère comme très forte, devrait se maintenir à l'avenir, grâce à la génération d'un capital sain à partir des opérations. Elle ajoute également que la forte génération de flux de trésorerie d'exploitation de l'entreprise a maintenu les paramètres de liquidité à des niveaux élevés.
Tout en reconnaissant la compétitivité continue de Mayfair dans le secteur de l'incendie industriel, Global Credit Ratings déclare que le mix d'activités est modérément diversifié avec un risque limité sur les produits agrégés. L'entreprise dispose d'une large gamme de produits couvrant différents secteurs et industries.
Au cours des dix dernières années, Mayfair s'est forgé un palmarès impressionnant depuis qu'elle est en activité. L'année dernière, la société a indemnisé Nakumatt Holdings à hauteur de 1.4 milliard de shillings pour ses pertes liées à l'attaque terroriste de Westgate. Malgré l'ampleur de la compensation, Mayfair a rapidement traité et livré le dossier, au-delà des normes et des attentes du secteur.
A (KÉ)
Cote de crédit de Mayfair Insurance selon Global Credit Ratings (GCR)
« Le relèvement de la notation reflète la capacité bénéficiaire renforcée de Mayfair, qui devrait se maintenir à des niveaux élevés sur l'horizon de notation »
– Notations de crédit mondiales
« La cote de crédit A nous donne une impulsion pour travailler à notre vision, même si nous affirmons notre position en tant que leader panafricain fiable et innovant des services financiers »
– Rajiv Ranjan, directeur de Mayfair Insurance
« La cote de crédit A (KE) avec une perspective stable est un vote de confiance envers Mayfair Insurance. C'est une bonne nouvelle alors que nous travaillons à accroître notre empreinte à travers l'Afrique. Cette année, nous prévoyons de nous développer au Rwanda, qui deviendra le quatrième marché en Afrique dans lequel nous sommes présents. »